Mon premier roman !
Un rêve réalisé !
Des années que je souhaitais écrire un roman, mais le temps me manquait, à moins que ce ne soit la peur de ne pas y arriver…
J’avais pourtant rédigé le début de l’histoire… et il me plaisait. Puis le COVID 19 est arrivé, et avec lui le confinement ; une aubaine quand on court après le temps ! Une simple relecture de mes premiers écrits, les encouragements d’un ami (il se reconnaitra), et me voici collé devant mon ordi 5 à 6 heures par jour…
Le résultat ? Game Over, mon premier polar, plus de 300 pages de recherches, de doutes et de grand bonheur.
Présentation
« Secrète, votre présence à Marseille sera absolument secrète. 24h sur 24, vous ferez l’objet d’une protection, aussi rapprochée qu’indétectable… ».Et un soir, elle avait été violemment agressée en pleine rue. Martial Daillant, journaliste d’investigation, flairait bien plus qu’un simple fait divers ; un acte sans commune mesure avec la petite délinquance de rue.Là, on avait frappé pour tuer. Une enquête difficile commençait, émaillée de révélations dont la gravité allait en éclabousser plus d’un, bien au-delà du monde de la pègre phocéenne.De Marseille jusqu’en Colombie, en passant par la Bretagne, les évènements allaient s’accélérer, projetant une lumière crue sur une réalité insoupçonnable.
Disponibilité, description

GAME OVER devrait être disponible début août dans les versions suivantes :
En ebook : sur toutes les plateformes numériques à partir du 1er août.
En papier : à la commande sur Amazon, fnac.fr, decitre.fr et cultura.fr, etc.
Le roman : environ 320 pages (dépend de la mise en page). Format 14,85x21cm – couverture souple en couleur – pelliculage brillant – sur papier couché 240g/m2 – intérieur en noir et blanc bouffant 80g/m2.
Pourquoi l’autoédition ?
Le COVID 19 est une véritable catastrophe pour les maisons d’édition dont le travail a été considérablement ralenti. La fermeture prolongée des librairies n’a rien arrangé et les éditeurs ont perdu beaucoup d’argent.Dans ce contexte, il ne fait aucun doute qu’ils ne vont prendre aucun risque, préférant les auteurs à succès, des valeurs sûres, que les illustres inconnus dont je fais partie. C’est pourquoi, le choix de l’autoédition s’est imposé à moi.
J’ai eu la chance de lire une première version; un conseil : ne commencez pas la lecture le soir, après manger , vous risquez la nuit blanche !
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